Que ces clochettes parfumées
Tintinnabulant à vos oreilles
L’écho de mes tristes pensées
Et l’ennui, à nul autre pareil,
De ne pouvoir vous les offrir
Main à main, sourire à sourire !
Avec indulgence, accueillez
Ces mots, ces vers, ce piteux don
De l’affliction inconsolée
D’une pauvre "cloche"… qui a le "bourdon" !
1952. Pour sa belle toujours aimée…
|